Peindre les oiseaux, c’est prendre du plaisir à reproduire une forme animale légère et chatoyante, c’est aussi prendre conscience d’un espace environnemental en gardant en tête que nous sommes loin de tout savoir, malgré des études scientifiques étayées par des recherches sérieuses. Face à l’inconnu, l’instinct prend le pas. Le choix des pinceaux, des tons, de la couleur fluo, sont autant de décisions liées à cette dualité entre des images et des informations scientifiques d’un côté et un ressenti de l’autre.
Peindre les oiseaux, c’est prendre du plaisir à reproduire une forme animale légère et chatoyante, c’est aussi prendre conscience d’un espace environnemental en gardant en tête que nous sommes loin de tout savoir, malgré des études scientifiques étayées par des recherches sérieuses. Face à l’inconnu, l’instinct prend le pas. Le choix des pinceaux, des tons, de la couleur fluo, sont autant de décisions liées à cette dualité entre des images et des informations scientifiques d’un côté et un ressenti de l’autre.